Gabriel Hellsing
Nombre de messages : 6 Age : 31 Localisation : Pourquoi resté toujours au même endroit? Emploi/loisirs : Etudiant Humeur : Posé Date d'inscription : 09/01/2010
| Sujet: L'antre du chasseur. Dim 17 Jan - 18:35 | |
| "La mort est douce: elle nous délivre de la pensée de la mort." Jules Renard.
Sa y est le soleil ne tarderait plus à se levé et après cette nuit calme la ville s'éveillerait de nouveau et reprendrait son train train habituel... Enfin la nuit avait été calme et paisible pour certains mais pas pour tous, pas pour moi en tout cas. Après avoir quitté le lycée j'avais, avec du mal et l'aide de Bartiméus, finalement réussi à revenir chez moi. Une grande maison familial avec plusieurs chambres, une salle de bain, une bibliothèque... etc. enfin bref le genre de grande maison où on vit à plusieurs et en famille. Et pourtant j'y étais seul avec Bartiméus. En arrivant j'avais directement filé prendre une douche et soigné mes blessures, j'avais besoin de repos et Bartiméus aussi. Je dormis quelques heures puis je me leva mangea un morceau et alla directement dans ma bibliothèque personelle. Je m'y installa avec un léger fond musical. -Bartiméus apporte moi nos ouvrages sur les vampires et ceux sur les invocations de niveau supérieure.
La gargouille grimaça en entendant parlé des invocations majeures mais s'éxécuta, elle revint quelques minutes après avec plusieurs ouvrages flottant en l'air.
-Voila ce que nous avons: généalogie des vampires, invocations de démons majeurs et supérieures...
Bartiméus continua ainsi mais je ne l'écoutais plus... Je repensais à cette jeune fille, j'avais déjà vu son regard quelques parts et pourtant impossible de me souvenir où mais au fond de moi je vais pertinemment qu'elle ne m'était pas inconnue.
-Donne le journal que mon père tenait sur sa chasse...
-Le journal de ton père?!
Il ne me força pas à répété et alla cherché le journal en question. Un journal à la couverture en cuire abimé au niveau de la reliure et aux pages jaunis par le temps. Je me jeta dans la lecture des récits de mon père et ne vit plus le temps passé ne pensant que à chercher quelque chose qui m'échappait.
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