Akikaze Akio, au rapport mon Capichef !

« - Interdiction de les tuer, d'accord ?

- Je tacherai d'y mettre du mien pour éviter.. Mais je ne garantie rien.

- Augmentation d'heures de cours peut-être ?

- PROMIS JURÉ CRACHÉ !!

- Voilà qui est mieux. »

Sortant du bureau, l'homme qui avait gueuler jusqu'à s'en faire entendre au toit du lycée réprima une grimace. Ça allait être son premier jour en tant que professeur, et déjà il sentait bien qu'il allait craquer... Bah oui ! Dans un lycée où les coups sont permis, comment s'empêcher d'étriper un élève qui vous brise les rouleaux ? Trop dur... La tentation va être forte. En plus, ou plutôt apparemment, il avait hérité d'une classe de dégénéré.

" No Stress. "

Sur cette bien belle pensée, le jeune homme ténébreux et pour le moins habillé d'une étrange façon selon certains se dirigea vers sa classe d'une démarche lente et peu motivé. Il portait une guitare sur son dos, ce qui accentuait les jugements sur sa personne. Prenant soin de n'y porter aucune attention, du moins extérieurement, il prit soin de saisir un bouquin fourré dans la poche arrière de son jeans et de lire là où il s'était arrêté la dernière fois.

« - Hum.. Et alors Junko lui dit "- Je sens que je suis en train de te perdre, pourtant je n'ai rien fait pour ça.. " Han ça devient intéressant ! Kentaro débarquant de nul part brisa la conversation avant de-.. Mmh..? »

Arrivant finalement à destination, après avoir monté un escalier et bousculer quelques personnes à cause de sa profonde lecture, il s'arrêta de lire. Le brun utilisa l'un de ses dons du ciel, c'est-à-dire une de ses mains, pour ouvrir la porte en face de lui. Ses yeux fixèrent alors à nouveau le livre. En entrant dans la pièce, ses oreilles l'informèrent d'un événement qui allait fortement déterminé son taux de patience dans les prochaines et néanmoins très importantes minutes à suivre. Résumé de la situation : un homme venait d'entré, et la classe était dans un bordel pas possible. Les élèves, se foutant bien évidemment de la personne qui venait d'arriver, continuait leur activité dans la joie et la bonne humeur.

" Eh merde, des pré-pubères.. "

Un qui n'était pas de bonne humeur par contre, était celui qui allait servir de professeur à cette classe. Conservant une mine détendue, il relança sa démarche, pour s'arrêter au tableau, tournant le dos aux élèves. Il saisit une craie, et marqua en prenant bien soin de la faire grincer pour le malheur des tympans tout neuf des élèves quelque chose.

" AKIO AKIKAZE, NOUVEAU PROFESSEUR PRINCIPAL, 23 ANS, DE TRÈS MAUVAISE HUMEUR. "

Tiens.. Comme c'est marrant.. Le silence.. Quel calme.

« - Je tiens à préciser que ma première impression sur vous est plutôt... Lamentable. De merveilleuses heures d'études nous attendent si vous continuez sur cette voie-là. »

Et alors qu'il ne s'y attendait pas, le brouhaba reprit de plus belle. Une goutte de sueur apparut sur son front. Pendant 5 grosses minutes, l'homme répondant au nom d'Akio resta parfaitement calme, et écouta les divers sujet de conversation de ses élèves. Le délais d'expirer, il prit une bonne inspiration et prononça d'une voix mielleuse :

« - VOS GUEULES !!!!!!! »

Silence²...

« - On vous emmerde ! »

...De courte durée, une nouvelle fois.

« - Ayumi c'est ça ?.. Avant que tu ne me poses la question, oui je connais ton prénom vu que j't'ai écouté parler avec tes copines pendant que je me taisais, moi.

- Mais, je -..

- Ferme-la et écoute-moi bien, "Barbie". (oui elle est la parfaite représentante de cette marque vu son style.) Sache que la réserve de patience que j'ai hérité en naissant est comme ta virginité. Tu pensais la garder à jamais. Jusqu'à cette nuit où effondrée par les affres de ton adolescence tu pleurais sur toi même. Ton pote "j'me fous de son nom et j'l'emmerde" - qui ne voulait que des relations amicales avec toi - passa par la avec sous le bras un exemplaire de « autant on emporte le vent » et une bouteille de rhum et baDABOUMMMMMM... Ouaaaah ! Elle s'est envolée pour toujours... Comme ma patience aujourd'hui. Donc maintenant avalez tous votre salive et décrassez vos oreilles bandes de feignasses. ICI ! Je fais ce que je VEUX, parce qu'ici c'est moi qui fixe les règles ! Ici, JE SUIS DIEU ! Et j'applique la sentence de MA justice !! VOUS avez cesser d'être les ROIS depuis MON arrivée ! Maintenant vous êtes MES bouffons, tous autant que vous êtes, et le PREMIER qui chouine je lui achète deux cercueils pour y foutre ses parents dedans et les enterrer tellement profondément que même le Diable pourra leur chatouiller le derrière, et ce si ça me chante !... Gouhouhou... Bah alors ? Qu'est-ce qui y a ? Vous n'êtes plus très jouasse d'un coup ! Vous avez peur ? Vous avez les chocottes ? Parce que vous avez compris ce qui se passe, enflures ? J'vais vous le dire moi ce qui se passe, écartez bien vos écoutilles parce que j'le répèterai pas ! VOUS-AVEZ-TROUVÉ-VOTRE-SUPÉRIEUR !! »

Reprenant sa respiration, l'Akikaze put admirer le spectacle. Ayumi fixait son prof' avec de grand yeux, le reste des élèves avaient la mâchoire qui pendouillait par terre. Avec une voix beaucoup plus calme, et un charmant sourire, Akio conclut son petit sermon par un :

« - Sinon, à part tout ça, ravi de faire votre connaissance. On peut commencer le cours. »

Une demie-heure plus tard, l'ambiance était lourde et pesante. Le silence était de mise dans la salle de cour. Mais pas pour ce que vous croyez. Non non non.. Akio s'était montrer plus... Doux ? Oui doux avec ses élèves. Et résultat, après seulement trente minute de cours, il avait eut une idée fantastique selon lui. Tous les bancs étaient disposés en un cercle immense. À l’intérieur de ce cercle, un banc double, où se trouvait toute sorte de choses, pièces, billets, chocolats, téléphone portable, jeux vidéos, et même la gratte du prof', bref toutes choses importantes aux yeux des personnes ici présentes. Un grand brun, qui en passant, servait de professeur, avait les yeux qui louchaient dangereusement dans le jeu de son voisin, Riku, qui avait misé dix paquets de ses chips préférés dans le tournoi de Poker. Celui-ci regardait son jeu et les carte posée en tas sur la table

- Posé ? Joué ? Passé ? Et si Akio-sensei cachait bien son jeu ? Et mes chips ? Argh, je pari que c'est du bluff ! pensait le lycéen

Finalement, il était l'heure d'annoncer les jeux respectifs.

- Une paire... annoncèrent piteusement deux lycéennes.

- Un Full aux Trèfles !

- Un Carré ! Ah ah je vous ai tous eu !

D'un voix innocente, mais à la fois sournoise, le petit Riku prit la parole

- Est-ce bien une Quinte Flush ? dit-il avec un sourire écrasant.

Akio, lui de son côté sentaient des gouttes sur son front. Il avala sa salive de travers, tout en fixant la Quinte Flush que Riku venait de montrer. L'heure était grave, l'Akikaze était dans la mouise.. Tant pis. Il allait utiliser les grands moyens, pas question de laissé ses paquets de cigarettes et sa nouvelle guitare aux mains d'un élève. Inconcevable. Il fit glisser doucement les cartes cachée à l'intérieur de sa veste pour remplacé son jeu sans que personne ne s'en aperçoive. Avec un sourire diabolique, et un rire à en glacer le sang, il dévoila ses cartes aux yeux de tous.

« - Hé hé ! Je vous ais tous battu.. Quinte Flush Royale les enfants !! Inclinez-vous face au talent naturel ! »

" Mwahaha !! "

Continuant de rire, il ramassa tous les objets et les plaça dans un grand sac. Il s'apprêta alors à sortir pour aller ranger ça dans le coffre de sa voiture, quand soudain il trébucha sur un sac mal placer, et fit tomber les cartes cachées dans sa manche. Il s'arrêta net, alors qu'il était en plein mouvement pour poser sa deuxième jambe au sol et ainsi avancer comme tout être vivant. Les élèves regardèrent leur prof' avec une lueur de meurtre dans les yeux.

« - Euh.. Oops ? »

La scène qui suivit fut censuré pour les lecteurs de ce post.

Urumi parcourait les couloirs de l'école, son sourire s'étirait au fur et à mesure qu'elle s'approchait de la salle de cours. Elle était toute excitée de pouvoir enfin voir ce prof' dont sa copine lui avait parler. Une fois devant la salle de cours elle entendait les élèves gueuler quelques insultes. Tricheur, salaud, connard... Bref ne soyons pas vulgaire Oo
Elle soupira en constantant ce brouaha qu'elle n'allait pas supporter très longtemps. Elle ouvrit la porte, et vit tous les élèves regroupés autour d'un homme par terre qui essayait de se débattre de ces élèves en furie. Bien spur personne n'avait encore remarquer sa présence. Elle s'approcha de l'endoit du " conflit " en évitant par-ci par-là les chaussures qui volaient ou d'autres choses...

" - Qu'est-ce qui se passe ici ?
- Connard t'as triché, sal prof !! "

Bon c'était pas à elle qu'on s'adressait apparemment. Elle toussota avant de reprendre un ton plus fort.

" - J'peux savoir ce qui se passe ici ?
- Enflure !! "

Une veine d'énervement était maintenant visible sur sa tempe mais elle se calma assez rapidement et tapota doucement l'épaule d'une des élèves qui se tourna bien entendu vers Urumi.

" Bon, j'peux savoir ce qui se passe ici ?
- K... Kanzaki ? ", s'écria la jeune fille.

*Silence total *

Tout le monde s'arrêta net en entandant le nom de la blonde et se tourna vers elle.

" Bonjour tout le monde !! ^^ ", répondit la blonde avec un sourire angélique.

Urumi baissa la tête constatant l'homme se trouvant par terre. C'est vrai que pour un prof' il avait un style peu commun.

" Bonjour professeur. "

Elle ne s'excusa même pas de son retard, un silence pesant se faisait dans la classen et la blonde attendit une quelconque réaction du professeur.

Et un œil au beurre noir, un ! Akio s'en était pris des belles après sa petite tricherie au tournoi de Poker. Pas de chance, d'habitude il fait tomber ses cartes échangés seulement quand il est seul. L'Akikaze alla s'asseoir à son bureau, dans le plus grand calme depuis qu'une certaine Kanzaki était arrivée. D'ailleurs celle-ci était en retard, mais apparemment ça n'avait pas trop l'air de la déranger. Note personnel : la faire sortir de la classe et l'obliger à maintenir la poignée de la porte pendant toute l'heure de cours la prochaine fois que la demoiselle décidera de faire la grasse matinée. Satisfait de son idée, Akio sortit son livre fétiche, Icha Icha Paradise volume 3. Sans se soucier, il allongea ses jambes sur son bureau, inclina sa tête, et commença sa lecture d'un regard distrait. Car oui, pendant qu'il s'attardait sur certaines phrases de son bouquin, il prenait aussi le temps d'observer la jeune fille blonde. Pitin.. Avec le corps qu'elle a, elle pourrait se faire passer pour une vraie adulte sans problème. À remarquer aussi la certaine tension depuis que Kanzaki était présente. Ses élèves étaient sage comme des images tout d'un coup, malgré le fait que leur prof avait triché pour remporter une partie de cartes, ainsi que les biens les plus "précieux" des lycéens. Un sourire se forma sur les lèvres d'Akio.

« - Yô.. »

" Donc voici la tortionnaire.. Facile à deviner vu les mines de déterrés que certains tirent.. Ça devient marrant. Dommage, il ne reste que 25 minutes de cours. "

« - C'est sympathique d'arriver en retard lors de mon premier jour en tant que professeur dans ce lycée.. Ça me permets au moins de me dire que tu as du être une vraie teigne pour mes prédécesseurs, que ces idiots de paresseux devaient être de vrais incapables ayant hériter d'une touffe dans la main lors de leur première respiration dans ce monde de crétins, qu'ils n'ont même pas eu l'amabilité de te faire apprendre la ponctualité, et que pour couronner le tout : à en juger par tes nombreuses absences, le lycée est plus un club Med qu'un endroit où l'on vient pour se défouler et pour aussi tenter d'avoir un avenir digne. Cool.. J'aime les challenges, ça tombe bien. Sur ce, bienvenue. Mmh.. Les larves, fit-il en désignant quelques élèves, vous me remettez cette salle en état. Ensuite.. Bah.. Comme je suis plongé dans la lecture de ce fabuleux chef-d'oeuvre qu'est Icha Icha Paradise Tactics, faites ce que vous voulez.. »

Il bailla un coup, l'air blasé, sous les yeux interrogateurs de ses élèves qui devaient sûrement se demander comme un mec comme Akio avait-il fait pour être nommé Professeur. Vu sa dégaine, son manque de tact, et de motivation, y avait de quoi se poser des questions. Point positif, en quelques minutes il avait sans doute eu plus d'autorité que tous les anciens profs réunis. Et ça, pour le moment, c'était tout ce qui comptait aux yeux du brun.
Avec un air nonchalant, il continua sa lecture.

" Moi Kentaro, le raté des ratés, je draguerais toutes les femmes de ce bas monde afin de créer une société fondée sur la polygamie où tous les hommes auront en particulier toutes les femmes qu'ils veulent et moi, je serais le roi de ce royaume utopique où mes sujets s'effeuilleront toute la journée et tous les jours jusqu'à ce que mort s'en suive! Je le jure solennellement! Et pour preuve je vais commencer par appliquer la technique du poirier japonais avec cette charmante secrétaire accessoirement la fiancée de mon patron! "

Urumi était surprise de la réaction de son professeur. En effet, il alla juste s'asseoir à son bureau, allongea ses jambes sur son bureau et sortit un livre sous le nom de " Icha Icha Paradise ". Vu le nom c'était pas dur de savoir quel genre d'ouvrage c'était. Sa surprise ne se voyait pas sur le visage d'Urumi qui garda un sourire angélique sur le visage, et le pire, c'est que ça lui allait bien, ça l'faisait même, enfin pour ceux qui ne la connaissait pas. Il commença son " roman " car oui c'était long pour Urumi.

" Blablabla, vous parlez trop professeur... C'est aussi mon premier jour vous savez et puis je n'ai absolument aucun ordres à recevoir de votre part si cela ne me plaît pas et puis je ne crois pas que vous ayez quoi que ce sooit à m'apprendre vu l'image de cancre que vous dégagez. C'est plus à moi de vous éduquer culturellement parlant."

Et hop encore le sourire angélique. Attiser la patience des prof' c'était l'une de ses activités favorites. Elle se tourna vers la classe qui n'avait pas bouger d'un poil et qui regardait la scène.

" J'ai pourtant le souvenir d'avoir entendu monsieur le professeur, je cite << Akio Akikaze, nouveau professeur principal, 23 ans, de très mauvaise humeur >> vous demander de nettoyer cette salle alors j'peux savoir c'que vous foutez là à nous regarder comme ça avec vos yeux de merlant fris ? "

Les élèves se mirent au ménage, sauf Urumi bien sûr. Elle s'appuya sur la table, laissant voir son décolleté puis d'un joli sourire elle demanda :

" Vous lisez des livres de cul devant vos élèves ? Vu le titre je ne vois que ça =) Vous n'avez pas honte ? Je pense que ce serait une bonne action d'en parler au directeur... "

Du chantage ? Oui on peut dire ça comme ça, en plus de ça elle mettait ses avantages physiques en avant car oui elle savait très bien qu'il la regardait du coin de l'oeil.

Ah, elle veut jouer à ça la petite Kanzaki ? Le sourire d'Akio se démultiplia, littéralement.

« - Si j'ai atteint le niveau de professeur c'est bien pour une bonne raison non? Ca signifie que mine de rien, j'ai ce qu'il faut là-dedans. »

Il pointa à l'aide de sa main gauche sa tête, tout en continuant à lire. Il donnait vraiment l'impression d'être désintéresser par tous ce qui l'entourait.

« - Je croyais que tu aurais au moins compris ça avant les autres. Apparemment, je me suis bien gourrer sur ce point. Ensuite, tu te permets de juger mes actions alors que tu n'étais même pas présente au début du cours ? Là, j'dois l'avouer, ça me fait bien marrer. Pour conclure, je ne vois pas pourquoi on me reprocherait de lire un bouquin de ce type dans un lycée ayant basé sa réputation sur le free-fight. Est-il beaucoup plus dangereux pour un élève de voir son prof' lire du interdit -18 que de se faire tabasser à mort sans raisons valables par un autre élève ayant décidé de prouver sa supériorité alakon aux yeux des autres ? Pour quelqu'un supposer avoir plus de 200 de quotien intellectuel, tu me déçois un peu. »

Eh oui, l'Akikaze avait eu vent d'Urumki Kanzaki. C'était tout à fait normal, vu la réputation de la jeune fille. Au début, il avait été surpris de la voir dans son cours, surtout dans une classe de tarés, mais maintenant vu le caractère de Kanzaki, il comprenait parfaitement certaines choses qui lui avait échapper.

« - Eh puis.. Le coup du chantage, c'est pas très fute-fute. J'ai la "confiance" du directeur. Pour renvoyer ma gueule d'ange il faudrait que quelqu'un apporte la preuve que j'ai couché avec une élève. C'est pas encore fait, donc je n'ai pas de crainte à avoir. »

Et à ce moment précis, son regard se posa enfin sur Urumi. Fin sourire aux lèvres, Akio la fixa pendant de longues secondes. Admirant la vue si gentiment proposée ou attendant une seconde offensive, à vous de juger.

J'suis sur un portable, et l'clavier ne m'aide pas trop, alors p'tit post =/

Hrp : Pas d'inspi' -__-

Rp :
Urumi ne s'attendait pas à ça. Effectivement, elle avait baisser ses gardes vu la description qu'on lui avait fait du professeur et elle n'avait pas penser l'analyser avant de passer à l'action. Il était plus fort qu'il en avait l'air, ça plaisait à la blonde qui étira un sourire sincère cette fois. Il était ni angélique ou bien sadique mais plutôt un sourire de satisfaction.

" Vous n'êtes pas si bête que vous en avez l'air. Pas encore couché avec une élève ? Serait-ce l'un de vos objectifs monsieur le professeur ? Je vois également qu'on vous a parler de moi, c'est dommage, cela va être moins marrant. Pas mal de mes plans tombent à l'eau. "

Elle remarqua que le brun louchait sur son décolleté. Elle fit mine d'avoir chaud en déboutonnant un autre bouton de sa chemise, faisant maintenant un décolleté beaucoup plus plongé en regardant du coin de l'oeil comment il allait réagir.

" Il fait chaud mon Dieu !! Sinon, je suis ravie de faire votre connaissance. Je sens que je vais m'amuser. Je vous promet de venir tous les jours en cours. "

C'était bizarre qu'elle réagisse comme ça envers un prof', ce qui expliquait l'arrêt soudain des élèves. Ils avaient arrêter le nettoyage plutôt surpris des paroles de la blonde et se regardèrent tous d'un air interrogateur. Urumi se retourna avec un regard menaçant ce qui fit reprendre leur travail. Elle voulait être " tranquille " avec ce sensei. Elle se tourna de nouveau vers Akio et passa derrière lui se mettant à lire le contenu du livre, sa poitrine étaient collée au dos de l'homme. Elle riait de ce qu'elle lisait mais reprit assez vite son sérieux.

" Monsieur, ce livre va vous ramolir le cerveau... Neutral

Dîtes-moi monsieur... "

Elle commença à masser les épaules du professeur.

" Hum... ça vous dit ce soir qu'on sorte ? J'aimerais vous parler en privé... on se retrouverait à la fin des cours... "

N'attendant pas la réponse de son professeur, Urumi partit de l'établissement pour rentrer chez elle.